La danseuse c’est inspirée du conte russe « Le vampire » que Marina Tsvétaéva écrit dans une langue fougueuse « Le Gars », un poème-conte relatant l’histoire de Maroussia, une jeune femme qui par amour perdra ses proches, elle-même et son âme.
Une ode puissante et incandescente à l’amour absolu.
Récité par Sylvie Le Secq et mis en musique par Gérard Daubanes.
Tout public à partir de 12 ans.
à 18h dans le cadre du festival EPOS
http://www.clio.org/evenements/festivalepos/