Innocent est conteur et danseur Ivoirien. Il est venu en France pour être médecin, il a failli finir expert-comptable. Aujourd’hui, il est devenu conteur, chanteur, danseur, mime et manie à merveille la langue française en jonglant. Il commence le conte en juillet 1997. Très rapidement, il est programmé sur des festivals de contes en Alsace puis dans la France et à l’étranger.

En 2007, il obtient une récompense académique régionale et une récompense du ministère de l’éducation nationale. En janvier 2009, son Spectacle « Quand Dieu prend la Mouche » est sélectionné pour la journée professionnelle du festival international des contes de Vassivière (Limousin).

Innocent YAPI a toujours le sourire aux lèvres. Il reste fidèle à sa philosophie : être sur terre c’est déjà un cadeau et surmonter une difficulté c’est accomplir un pas de plus vers la sagesse et l’accomplissement de soi.

Joro est musicien, chanteur et compositeur Malgache. Autodidacte, il maîtrise des dizaines d’instruments (percussions, flûtes et guitares….) dont certains qu’il crée lui-même.

Il compose les morceaux et les chants qui contribuent à donner du relief et une atmosphère particulière à chacun des contes.

Arrivé à Strasbourg en 1993, parallèlement à ses études de musicologie, il fonde le groupe de musique malgache LAPA. Depuis 2003, il fait partie de la compagnie Tartine Reverdy et compose régulièrement avec le bassiste Malgache Fanaïky.

Il enregistre en ce moment son premier album après avoir participé à la création d’albums de plusieurs artistes dont :

 Le bassiste Malgache FANAIKY (album Melo Gasy en 2007)

 La chanteuse Française Tartine REVERDY (album Chacun comme chez soi en 2004, album Madame je veux en 2006, rouge tomate en 2009).

Joro est également un bricoleur passionné qui fabrique lui-même certains de ses instruments de musique, monte ses propres plateformes et ses propres pédales pour avoir à portée de mains et de pieds tous les instruments dont il a besoin soit pendant les concerts, soit pendant les Spectacles de conte.

Rien que dans « Quand dieu Prend de la mouche » il n’utilise pas moins de 80 kg d’instruments :

une guitare électro-acoustique, trois tambours d’eau, des cloches cymbales, un grand gong, un djembé, un djabara, quatre familles de grelots, un carillon, des cloches de vaches, des wood-blocks, des agoukwés du Bénin, un RC20 s, cinq jeux différents de baguettes.