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La Lettre
<doc4920|left>il était une fois... il est toujours une seule fois Les contes existent grâce à la rencontre entre ceux qui les disent et ceux qui les entendent, sinon ça ne conte pas ! « Conter C’est un « je » qui dit « nous » Un coucher de soleil c’est beau, une vieille dame qui raconte un coucher de soleil c’est encore plus beau (Jean-Michel Ribes) "Le conte, ai-je découvert, demande un état d’abandon des pensées tâtonnantes et l’acceptation du secret qui cherche à émerger." "Qui frappe ainsi à ma porte ? Réponds-moi, ô mon fidèle verrou. C’est un errant, c’est un mendiant, c’est une parole de la nuit, c’est une parole de désir, c’est un conte. C’est une "parole anonyme, peut-être même bâtarde, car elle ne connaît point son père, condamnée qu’elle est à chercher en nous sa maison". "la clé des contes" Bernadette Bricout ed. Seuil "Un texte est toujours le souvenir d’une bouche qui reste dans l’impossibilité de dire ce qu’elle a vu... |
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