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Le Télégramme 20 septembre 2018
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Qu’est-ce que la presse dit de Guylaine Kasza ?...
Tout d’abord,
Un petit extrait du Spectacle Tu m’aimes ? : - sur le site du Cri de l’Ormeau
L’ART A L’OUEST - janvier-février 2008 - Extrait de l’article de Raphaël Baldos, photo de Stéphanie Fuentes - <img1934|right>]
"Guylaine Kasza anoblit l’art du conte. Elle rapporte des récits de l’autre bout du monde. Raconte des souvenirs entendus à sa porte. Adapte Garcia Marquez. Traque l’œuvre de Bahodin Majrouh en Afghanistan. Il était une fois une petite fille de banlieue qui aimait les histoires.
Guylaine Kasza - Contes des mille et une vies
Il faut l’imaginer, petite femme au sourire désarmant, parcourir les chemins poussiéreux de l’Afghanistan. Rencontrer les femmes, les enfants et les hommes des villages, écouter leurs histoires, raconter les siennes. En collectage ou en Spectacle, Guylaine Kasza noue d’instinct le contact. “Partout où je passe, je rencontre des histoires !” Les histoires. Ce sont elles qui poussent cette conteuse des Côtes d’Armor sur les chemins et les scènes du monde. Parce que raconter, c’est donner une partie de soi-même. Écouter, c’est recevoir. Qui peut résister lorsque Guylaine Kasza prend la parole ?..."
Pour lire la suite cliquez ici : - L’art à l’Ouest
- OUEST-FRANCE - 16 janvier 2008 - Rennes - Article de Gérard Pernon -
Voyage "au royaume de l’insolence", la Péniche-Spectacle invite à s’embarquer pour l’Afghanistan avec Guylaine Kasza, conteuse
"Guylaine Kasza revient de loin. d’Afghanistan, bien-sûr. Mais, d’autre part aussi. Elle vient raconter l’histoire de son voyage "au royaume de l’insolence".
Tout commence lorsque Guylaine Kasza tombe sur l’histoire de l’Afghanistan racontée par Mickaël Barry, un spécialiste de la Perse. "Ce fut une clé. L’idée de royaume de l’insolence, d’une fierté vient de là. Et puis j’ai lu Saïd Bahodine Majroud, un écrivain assassiné en 1989... Il avait tout compris." En 2002, la conteuse part à la rencontre d’une autre culture.
"Là-bas, j’ai touché à des choses essentielles. J’ai rencontré des gens différents, mais pas si différents, en même temps. C’est ça le voyage... Cela a changé ma vie. J’ai commencé à comprendre, à oublier mes préjugés. Depuis, je me sens libre. Ou du moins, c’est en cours." Guylaine Kasza a écrit, photographié, filmé, collecté des contes... Un jour, elle a rencontré Marie-Blanche Hannequin, une photographe qui court, seule, le monde. L’idée d’un récit illustré de photos est née de cette rencontre.
Quant au projet de ce Spectacle, accueilli à la Péniche, il est né, il y a 6 ans. "Le directeur de Paroles d’Hiver à Saint-Brieuc, où j’habite, m’a proposé de monter quelque chose. Je voulais dire ma vision subjective de l’Afghanistan. " Il lui a paru nécessaire de travailler avec un homme de théâtre. Hugues Charbonneau, dans ce lieu nomade et de parole qu’est la péniche, l’a accueillie. "Pour faire parler ce texte sur une scène, dans un espace, " dit-il. "Je veux témoigner, en évitant le narcissisme", ajoute Guylaine Kasza. Un autre voyage, qui ne fait peut-être que commencer."
- LE HAUT-ANJOU - 18 janvier 2008 - Château-Gontier - Extrait de l’article de Philippe Simon -
Au Carré les piou-piou ont caqueté de joie
"Entre chansons et poésies, le jeune public a savouré des comptines et des histoires de Guylaine Kasza de la Cie Carnets de Voyages au Théâtre des Ursulines, mercredi. Les enfants ont repris les mots et les rimes mi-parlé mi-chanté. Ils ont jubilé en voyant le Spectacle Quand trois poules s’en vont au champ. Dans un espace intimiste, se sont racontés des petits drames, où le cœur bat très fort... mais aussi amusant. Des petits bonheurs quand à cet âge on n’est pas plus haut que trois pommes. Les enfants ressortent avec en tête la musique et les chansons fredonnées. Une belle connivence avec l’artiste conteuse ! Ce Spectacle a été comme une invitation aux voyages, aux paysages et à devenir grand."
- LA REPUBLIQUE DU CENTRE - Saint-Jean - Extrait de l’article -
Picoti Picota, Kasza est passée par là !
"…Guylaine Kasza avait demandé aux jeunes à partir de 18 mois de lui rendre visite pour aller au devant de Quand trois poules. Tous ont passé un pur moment de bonheur avec ces histoires racontées par Guylaine Kasza et ponctuées d’un moulin à musique rappelant des souvenirs d’enfance aux plus anciens. Ce petit bout de femme pénètre sur scène et soudain le théâtre s’illumine de mille regards, elle respire comme elle sourit, elle sourit comme elle chante. Tout en elle distille la gaieté. Elle entraîne le public jeune et moins jeune au travers de la ferme où les questions se suivent et ne se ressemblent pas. « Pourquoi c’est toujours le coq qui est en haut du clocher ? » le tout agrémenté d’un sonore « Cocorico ! » lancé de la scène mais aussi du public. Picoti Picota, Guylaine Kasza, une maman poule dans les bras de laquelle se jettent à corps perdus les petits poussins du public."